Une invitation au voyage à travers les nuits trépidantes d’une jeune femme. Chaque soir, après s’être endormie, elle enfourche son vélo à la découverte du monde et de ses rêves.
Elle ne sait pas pourquoi, mais chaque nuit c’est la même histoire : elle doit pédaler sinon quelque chose de terrible arrivera. Quoi ? Elle ne sait pas. Alors elle roule jusqu’au prochain rêve et part à l’aventure, à cet endroit tout particulier des songes, là où la vie se mélange à l’imaginaire pour inventer les plus belles péripéties.
« Ce spectacle est né du besoin intime et viscéral de recycler les dissonances vertigineuses entre l’état du monde et mes idéaux, mes espoirs de jeune femme. Je voulais crier la vie au milieu des tumultes, chercher le sens et convoquer ce qui crépite en soi. Agir. Et puis je me suis blessée très gravement, j’ai dû accepter d’être une comédienne handicapée, et trouver de nouveaux chemins pour continuer la création. A l’urgence initiale d’exprimer ma soif de vie s’est alors mêlée la nécessité de continuer à vivre et créer avec un corps empêché. Agir. Inventer de nouveaux possibles. Crier la vie, fort, savourer le beau, saisir la lumière. Agir. » – Léa Conil
distribution
texte Nathalie Fillion (Plus grand que moi) et Andrée Chedid (Nuit)
adaptation et mise en scène Léa Conil
assistanat Margot Cazaux-Ribert, Antoine Tissandier, Thibault Flatreaud et Jérémy Nardot
travail du corps Marie Conil
avec Léa Conil
production
production Collectif Là-bas si j’y vais
soutiens Glob théâtre, iddac – agence culturelle du département de la Gironde, La Traversée, Conservatoire de Bordeaux et Trioletto.
en coorganisation avec l’iddac – agence culturelle du département de de Gironde